Famille Saint-Cricq d’Arance
Généalogie Saint-Cricq d’Arance
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Armes : écartelé ; au 1 et 4 d argent, à deux faces d’azur, au 2 et 3 d’azur, à une molette d’argent,
ce qui donne quelque chose comme ça…
Généalogie d’après « Tableau généalogique, historique, chronologique, héraldique et géographique … »
Par de la Motte et de Combles Waroquier Sieur de Mericourt (Louis Charles Comte de)
Louis, seigneur de Saint-Cricq-du-Gave, avait épousé Marie-Antoinette de Luppé, dont 1. Charles-Théodore qui suit , 2. Ignace
Charles-Théodore de Saint-Cricq, épousa le 16 décembre 1462 demoiselle Isabelle de Saint-Cricq d’Arance, fille de noble Joseph , seigneur de Castelabidon, et de Félicité d’Espalungue de Loubie, dont
Pierre de Saint-Cricq d’Arance, marié le 12 juillet 1501 à demoiselle Gabrielle de La Puyade, fille de noble Isaac et de Marie de Herrère, dont 1.Thimothée qui suit, 2. Amanju, conseiller au conseil souverain de Béarn, 3. Bernard, seigneur d’Ayris, conseiller en la même cour.
Thimothée de Saint-Cricq d’Arance, seigneur de Castelabidon, capitaine aux lansquenets d’Orthez, épousa le 4 novembre 1544, demoiselle Corizandre de Cazamayor de Sauveterre, fille de noble Samuel, conseiller au conseil souverain de Béarn, et de Marie de Nolivos, dont 1. Gratian qui suit, 2. Daniel qui s’est immortalisé en se dévouant pour le salut du bon roi Henri IV, en 1576, 3. Philippe, capitaine des arquebusiers de Sa Majesté, dont le mérite militaire fut honoré des éloges du même roi, 4. Amanju, auteur de la branche de Pomps aujourd hui éteinte
Gratian de Saint-Cricq d’Arance, seigneur de Castelabidon, capitaine dans les bandes de Picardie, s’était marié le 24 mars 1598, àvec demoiselle Bertrande de Peyré, fille de noble Arnaud de Peyré d’Oloron et de Françoise de Pimbou, dont
Pierre de Saint-Cricq d’Arance, lieutenant au régiment des bandes Béarnaises, marié le 7 décembre 1628 à demoiselle Marguerite de Sarrabaig, fille de noble Pierre, seigneur de Casté de Deu-Camyts, dont
Jean de Saint-Cricq d’Arance, officier au régiment des bandes Béarnaises, puis lieutenant et capitaine dans celui de Bourbonnais, épousa le 2 aout 1656 demoiselle Charlotte de Pinsun, fille de noble Pierre, seigneur de Pinsun et de demoiselle Marie de La Salle, dont
Henri de Saint-Cricq, capitaine au régiment des bandes Béarnaises épousa le 17 janvier 1694 Marie de Lichigaray, d’Orthez, dont
François de Saint-Cricq d’Arance, lieutenant de grenadiers au régiment de Béarn en 1712, capitaine dans celui du bourbonnais en 1724 et dans celui des bandes Béarnaises en 1733, nommé chevalier de Saint-Louis le 10 aout 1755, décédé le 14 du même mois, marié le 20 janvier 1724 à demoiselle Marie de Lichimia, fille de noble Jean-Paul et de Anne de Laffitau de Saint-Sever, dont 1. Jean-Paul qui suit, 2. Pierre, curé de Momas, 3. Catherine
Jean-Paul de Saint-Cricq d’Arance, garde du corps de Sa Majesté,du 20 juin 1741 ànfin novembre 1752, reçu membre du corps de la noblesse aux états de Béarn le 12 janvier 1759, comme gentilhomme et possesseur de l’abbaye d’Aramits-Jusan, chevalier de Saint-Louis, le 27 mai 1760, gendarme de la garde ordinaire du roi de 1753 à 1761, Fourrier Français de la compagnie des Cent Suisses de la garde de S.M., suivant la commission du 21 octobre 1761, précédée d’une lettre de M. le maréchal d’Estrée à M. le marquis de Courtanvaux, qui contient l’éloge de sa conduite, nommé le premier octobre 1762, capitaine des châteaux de Minerve & de Puysserguier en Languedoc, en considération de ses services militaires et de ceux de ses auters, gentilhomme de la Chambre, et chambellan du Margrave de Baden-Dourlak, blessé d’un coup de fusil à la bataille d’Ettingen, à celle de Fontenoid’un coup de feu et d’un coup de sabre, à la suite duquel il a été trépan é, et d’un 3ème coup de feu à celle de Lauffeldt, a épousé le 8 juillet 1766, demoiselle Marie Laurence Josephe Pétronille de Salazar-Munnatonés de Mazarredo et Gortazar, fille de dom Antoine de Mazareddo, grand bailli de la noblesse de Biscaye et de demoiselle Marie Joseph Juste de Gortazar, dont 1. Antoine-Jean-Paul de Saint-Cricq, élève de l’école Royale Militaire au collège de Pontlevoi, 2. Pierre-René-François, 3. Barthélémy-Charles, 4. Charles-Gaspard-Alexandre, 5.Joseph-Dominique-Mathieu, lieutenant au régiment des milices de Béarn, page de S.A.S. le prince de Condé, 6. Jacques aussi page de ce prince
Bonjour. Modifier « Amanju » pour « Amaniù » autrement écrit « Amanieu » dans d’autres documents.
oui Sophie, mais je garde l »orthographe du texte original
Wikipedia
Toponymie
Le toponyme Casteide-Cami apparaît sous les formes Castaede (XIIIe siècle29, fors de Béarn30), Casteede deu Camii et Quastede (respectivement29 1342 et 1343, notaires de Pardies31), Castahede deu Camii (148529, registre des établissements de Béarn32), Castanheda deu Cami, Castaeda, Castade-au-Cami et Castaede-Camii (respectivement29 1538, 1548, 1576 et 1580, réformation de Béarn33) et Castéide Cami (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque29).
Le nom de la commune signifie « châtaigneraie du chemin » en référence au chemin dit Romiu qui traverse la commune. Le terme Casteide vient de castaneda (de castaneum + suffixe collectif -eta)34 avec chute régulière en gascon du n intervocalique, sachant qu’il ne s’est pas nasalisé pour donner castagnède.